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path: root/tests/Wallabag/ImportBundle/fixtures/wallabag-v2.json
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authorJérémy Benoist <j0k3r@users.noreply.github.com>2017-10-11 09:55:03 +0200
committerGitHub <noreply@github.com>2017-10-11 09:55:03 +0200
commitd8dc7372ab3d8ac4c5d5546e5c5e00bf4bf2d862 (patch)
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Merge pull request #3376 from wallabag/symfony-3.3
Symfony 3.3
Diffstat (limited to 'tests/Wallabag/ImportBundle/fixtures/wallabag-v2.json')
-rw-r--r--tests/Wallabag/ImportBundle/fixtures/wallabag-v2.json4
1 files changed, 2 insertions, 2 deletions
diff --git a/tests/Wallabag/ImportBundle/fixtures/wallabag-v2.json b/tests/Wallabag/ImportBundle/fixtures/wallabag-v2.json
index 0e30d95b..63c44cf9 100644
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75 "content": "<p class=\"c2\"><strong>La Corée du Sud vibre en ce moment à la lecture d’une information qui pend aux nez des Français. Une entreprise privée a récupéré 90% des dossiers médicaux des habitants du pays du matin calme au soleil levant pour les revendre.</strong></p>\n<p>Une entreprise spécialisée dans le développement de logiciels en charge de gérer les frais médicaux, programmes utilisés dans les hôpitaux et la Korean Pharmaceutical Information Center, a offert il y a quelques mois ses logiciels de gestion d’officines. Plus de la moitié des pharmacies du pays ont utilisé l’outil. Sauf que <a href=\"http://www.koreaherald.com/view.php?ud=20150726000368\" target=\"_blank\">les données sauvegardées ont été revendues</a> à IMS Health Korea. Cette entreprise, dont le siège social est basé aux USA, a ensuite commercialisé, illégalement, les données à d’autres sociétés en Corée.</p>\n<p>La loi 2011 sur le droit de la protection des renseignements personnels interdit l’utilisation des renseignements personnels et des renseignements médicaux sans le consentement des patients. Le Pharmaceutical Information Center est actuellement jugé pour cette collecte illégale, qui date de 2013, et la distribution des informations médicales de 90% des Coréens.</p>\n<blockquote readability=\"4\">\n<p><strong>Un cas qui pourrait toucher la France ?</strong></p>\n</blockquote>\n<p class=\"c2\">Depuis février 2015, l’ouverture des données de santé dans l’hexagone a été décidée par le législateur. L’assurance-maladie a annoncé qu’elle proposait, en accès libre, sa base de données « <em>Damir</em> » sur le site data.gouv.fr. Un big data de la santé qui regroupe les informations issues de 1,2 milliard de feuilles de soins, de 500 millions d’actes médicaux et de 11 millions d’hospitalisations. Ce big data ne propose pas les identités (pas de nom, de numéro de sécurité sociale, …), uniquement des millions de chiffres et de données de santé. Cette faramineuse base de données, qui double de volume chaque année, permet d’extraire, par exemple, des statistiques liées à la santé dans les régions. <a href=\"http://www.assemblee-nationale.fr/14/amendements/2302/CION-SOC/AS1387.pdf\" target=\"_blank\">L’article 47 de loi</a> permet aux acteurs privés d’accéder aux données de la CNAMTS. C’est l’Institut national des données de santé (<a href=\"http://www.institut-des-donnees-de-sante.fr/\" target=\"_blank\">INDS</a>) qui a en charge de répondre aux demandes du « privé » pour accéder aux données plus ciblées (et payantes).</p>\n", 75 "content": "<p class=\"c2\"><strong>La Corée du Sud vibre en ce moment à la lecture d’une information qui pend aux nez des Français. Une entreprise privée a récupéré 90% des dossiers médicaux des habitants du pays du matin calme au soleil levant pour les revendre.</strong></p>\n<p>Une entreprise spécialisée dans le développement de logiciels en charge de gérer les frais médicaux, programmes utilisés dans les hôpitaux et la Korean Pharmaceutical Information Center, a offert il y a quelques mois ses logiciels de gestion d’officines. Plus de la moitié des pharmacies du pays ont utilisé l’outil. 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L’assurance-maladie a annoncé qu’elle proposait, en accès libre, sa base de données « <em>Damir</em> » sur le site data.gouv.fr. Un big data de la santé qui regroupe les informations issues de 1,2 milliard de feuilles de soins, de 500 millions d’actes médicaux et de 11 millions d’hospitalisations. Ce big data ne propose pas les identités (pas de nom, de numéro de sécurité sociale, …), uniquement des millions de chiffres et de données de santé. Cette faramineuse base de données, qui double de volume chaque année, permet d’extraire, par exemple, des statistiques liées à la santé dans les régions. <a href=\"http://www.assemblee-nationale.fr/14/amendements/2302/CION-SOC/AS1387.pdf\" target=\"_blank\">L’article 47 de loi</a> permet aux acteurs privés d’accéder aux données de la CNAMTS. 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