+<!--l. 167--><p class="indent" > Mais que faisait Farl<span class="frenchb-thinspace"> </span>? Il aurait dû être rentré depuis un moment déjà.
+Ou était-ce seulement le temps qui lui paraissait si long<span class="frenchb-thinspace"> </span>? Il soupira. Et s’il
+lui arrivait quelque chose<span class="frenchb-thinspace"> </span>? S’il était vu<span class="frenchb-thinspace"> </span>? Le couvrir serait très
+
+
+compliqué...<br
+class="newline" />La tête posée sur son épaule, Samantha murmura. — Tu dors<span class="frenchb-thinspace"> </span>?<br
+class="newline" />— Non. Je m’inquiète pour Farl.<br
+class="newline" />Elle hocha la tête.<br
+class="newline" />— Moi aussi, un peu. Mais tu sais, il est très doué...<br
+class="newline" />— Je sais, mais... il a mis moins de temps la première fois non<span class="frenchb-thinspace"> </span>? Il n’a
+aucune raison d’être plus lent cette fois-ci...
+<!--l. 175--><p class="indent" > À ces mots, il entendit, non sans un certain soulagement, quatre coups
+nets sur la porte d’entrée.